Featuring data from a nationwide survey of English faculty in Canada, this study focuses on the reasons that faculty offered for choosing their respective doctoral programs. This analysis pays particular attention to gendered disparities in participants' responses and to disparities associated with parental educational level, two variables that sometimes intersect in striking ways. This investigation explains why some reasons that women and first-generation university students provided for their choice of doctoral program can increase a student's chances of entering a poorly ranked program. Employing previously unprocessed data from Statistics Canada, this article also presents information to help would-be PhD students who are women, first-generation university students, or both make more informed decisions about where to pursue doctoral study to be more competitive in the academic job market if they aspire to be professors. This article is simultaneously designed to increase faculty mentors' understanding of the problematic logic that women and first-generation university students may use when selecting their PhD programs so that such mentors can better address these students' misperceptions about doctoral studies and the profession. La pr & eacute;sente & eacute;tude, qui s'appuie sur les donn & eacute;es d'une enqu & ecirc;te nationale men & eacute;e aupr & egrave;s de professeurs d'anglais au Canada, analyse les raisons invoqu & eacute;es par les professeurs pour choisir leur programme de doctorat. Elle accorde une attention particuli & egrave;re aux disparit & eacute;s dans les r & eacute;ponses des universitaires en fonction du sexe et du niveau de scolarit & eacute; des parents, les deux variables se recoupant parfois de mani & egrave;re frappante. Cette enqu & ecirc;te examine pourquoi certaines raisons invoqu & eacute;es par des participants & agrave; l'enqu & ecirc;te qui & eacute;taient des femmes ou des & eacute;tudiants universitaires de premi & egrave;re g & eacute;n & eacute;ration pour avoir choisi leur programme de doctorat peuvent augmenter le risque qu'un & eacute;tudiant s'inscrive & agrave; un programme mal class & eacute;. Ensuite, & agrave; l'aide de donn & eacute;es de Statistique Canada jusqu'& agrave; maintenant inexploit & eacute;es, l'article donne des informations destin & eacute;es & agrave; aider d'& eacute;ventuels doctorants femmes, & eacute;tudiants universitaires de premi & egrave;re g & eacute;n & eacute;ration, ou les deux, & agrave; prendre des d & eacute;cisions plus & eacute;clair & eacute;es. Ainsi, le choix de leur programme de doctorat les rendra plus comp & eacute;titifs sur le march & eacute; de l'emploi universitaire s'ils aspirent & agrave; devenir professeurs. Cet article vise & eacute;galement & agrave; permettre aux mentors du corps professoral de mieux comprendre la logique douteuse pr & eacute;sidant au choix d'un programme de doctorat par les femmes et les & eacute;tudiants universitaires de premi & egrave;re g & eacute;n & eacute;ration. Ces mentors pourront alors mieux corriger les perceptions erron & eacute;es de ces & eacute;tudiants concernant les & eacute;tudes de doctorat et la carri & egrave;re professorale.
